Le merveilleux des choses est souvent dans leur simplicité et l'émotion jaillit de petits détails qui laissent deviner l'ensemble, donnent envie de pousser une porte entrouverte, de s'asseoir à une table au soleil, de deviner la vie derrière une fenêtre... C’est la quête perpétuelle de l'ombre qui appelle la lumière, de la sérénité au détour d'une ruelle, de l'oisiveté bénéfique d'une sieste estivale, de la douceur de vivre où le temps n'a plus prise.
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mardi 27 novembre 2007
Le silence des arènes
Ronda (Andalousie)
Pastel 2004
28 x 38
Dans la quête perpétuelle de l'ombre qui appelle la lumière, dans la quiétude bénéfique d’une sieste estivale, la violence du spectacle fait place à la douceur et au calme, le jaune du soleil et le rouge du sang prenant tour à tour leur rôle dans la garde des fantômes de l’aréne : l’âme de Carmen plane sur le sable et la voix de Don José s’ évanouit le long des colonnes…
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1 commentaire:
C'est magnifique!!!! Mais ne vous enterrez pas dans les vieux cailloux,faites autre chose!!Bon courage pour la suite.
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